Il a fallu dépasser l’illusion, créée par les nouvelles technologies numériques, que l’on allait stocker du savoir comme on entrepose une marchandise, mais le fait est désormais entendu : une part essentielle du capital de connaissances de l’entreprise sommeille non pas dans des archives papier ou des fichiers numériques, mais bel et bien dans le cerveau de chacun de ses collaborateurs.
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Mémoire vive | Le nouvel Economiste
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